S'aimer soi-même avant tout

 

Lourd est le fardeau de la dévalorisation, de l’autopunition, du sentiment de culpabilité, du manque d’estime personnelle...On vous a peut-être inculqué comme à beaucoup d’autres, l’idée qu’il est mal de s’aimer soi-même. Ne soyez pas égoïste nous dit la société. Aime ton prochain, nous exhorte l’église. Mais il est un précepte que tout le monde semble oublier: aime-toi toi-même. C’est précisément ce que vous allez devoir mettre ne pratique pour jouir pleinement du moment présent…

 

Rompre avec les habitudes du passé n’est pas tâche aisée. Le processus par lequel l’enfant intériorise les pensées des autres dans le cas ci-dessus entraîne des sentiments de culpabilité. La culpabilité nous empêche de nous estimer, de nous aimer à notre juste valeur. En effet comment peut-on s’aimer en se jugeant responsable de (l’amour manqué). Tant que ces relations (parent-enfant) restent ponctuelles, elles ne pas susceptibles de causer trop de dommage pour notre estime personnelle. Par contre quand ces situations se répètent, elles  induisent inévitablement chez l’enfant du sentiment de dévalorisation qui se répercute sur la confiance et l’estime personnelle.

 

Nous pouvons toujours comprendre que nos parents ont fait de leur mieux. Qu’ils ne sont pas parfaits et qu’eux aussi n’ont fait que transmettre à leurs enfants que ce que l’on leur a donné comme amour, reconnaissance sécurité et bienveillance. Il nous incombe donc de choisir la personne que nous voulons devenir en changeant nos modes de pensées et de comportements. Une volonté et une discipline consentie pour apprendre à nous aimer et à nous accepter peut alors être envisagée.

 

Quand nous nous aimons nous-même 1. Nous laissons partir le blâme, la honte et la colère. Nous invitons le sentiment de propriété, la créativité et le pouvoir dans notre vie. 2. Nous sentons et écoutons notre pouvoir et lui faisons confiance. Peu importe ce que les autres pensent ou disent ; ce qui importe est comment nous nous sentons à propos de nous-même. 3. Nous nous sentons en paix. Nous nous acceptons inconditionnellement – avec nos forces et nos faiblesses. 4. Nous devenons responsables de notre vie. Nous reconnaissons que nous sommes la source de tous les bonheurs. Nous sommes la source du changement, dans notre avenir, notre carrière, nos relations, notre passion, notre compassion, notre empathie et notre authenticité. 5. Nous laissons partir le sentiment de solitude et embrassons une connexion plus profonde et la sensation d’unicité avec le monde. 6. Nous nous autorisons à nous montrer dans le monde et à livrer notre objectif. 7. Plus nous nous regardons avec amour, plus nous donnons d’amour et d’acceptation aux autres. Nous laissons partir les pensées qui nient notre réalité (les « nous devrions ») et nous nous mettons à aimer ce qu’elle est.

Voir plus: Les Fantastiques effets du fait de s’aimer soi-même | http://www.santenaturelle.org/20-effets-secondaires-fantastiques-de-saimer-soi-meme/

 

"Si tu ne t’aimes pas toi-même, tu ne pourras jamais aimer quelqu’un d’autre. Si tu ne peux pas te traiter avec tendresse, tu ne peux pas non plus traiter les autres avec tendresse. C’est psychologiquement impossible.

 

Tu traites les autres comme tu te traites toi-même. C’est un fait, accepte-le. Si tu te détestes, tu détesteras aussi les autres; de fait, on t’a appris à te détester ! Jamais, personne ne t’a dit : « aime-toi toi-même ! ». L’idée elle-même semble absurde : s’aimer soi-même ? L’idée elle-même n’a pas de sens !

On pense toujours que pour aimer, on a besoin de quelqu’un d’autre. Mais si tu n’apprends pas à t’aimer toi-même, tu ne pourras pas non plus aimer les autres.

 

 

On t’a conditionné en te répétant sans arrêt que tu ne vaux rien. On t’a dit et on t’a démontré de toutes les façons possibles, que tu es indigne, que tu n’es pas comme tu devrais être, que tu n’es pas acceptable tel que tu es. Il y a beaucoup de « tu devrais » qui pèsent sur ta tête, et ces « tu devrais » sont quasiment impossibles à satisfaire. Et quand tu ne peux pas les satisfaire, quand tu n’y arrives pas, tu te sens maudit.

Une haine profonde surgit envers toi.

 

Le premier pas est de t’accepter tel que tu es. Laisse tomber tous les « tu devrais ». Ne trimbale aucun « tu devrais » dans ton coeur !

Tu n’as pas à être quelqu’un d’autre, tu n’as pas à faire autre chose que ce qui t’es propre. Tu as juste à être toi-même. Détend-toi et sois seulement toi-même. Respecte ton individualité, et aie le courage d’apposer ta propre signature. Cesse de copier les signatures des autres.

 

Quand tu n’essayes pas de te convertir en quelqu’un d’autre, alors, simplement tu te détends; et c’est alors que la grâce surgit. Tu te sens plein de dignité, de splendeur, d’harmonie… Parce qu’alors il n’y a pas de conflit ! Nulle part où aller, aucune raison de lutter, rien à forcer, à t’imposer violemment. Tu deviens innocent.

Dans cette innocence, tu as de la compassion et de l’amour pour toi. Tu te sens tellement heureux, que même si Dieu venait frapper à ta porte et qu’il te dise : « Aimerais-tu te convertir en quelqu’un de différent ? » Tu dirais : « T’es devenu fou ? Je suis parfait, merci ! Surtout ne change rien en moi, je suis parfait comme je suis. »

 

Si tu vas voir une peinture de Picasso et que tu dis : « Ça, ça ne va pas… et ça, ça ne va pas non plus… et cette couleur aurait dû être comme ça… », tu renies Picasso ! Quand tu dis : « Je devrais être comme ça », tu tentes de perfectionner Dieu ! Ce que tu dis c’est : « Tu t’es planté, j’aurais dû être comme ceci… et tu m’as fait comme cela ! » Tu essayes de perfectionner Dieu ! Ce n’est pas possible. Ta lutte est inutile, tu es condamné à l’échec.

Et plus tu échoues, plus tu te détestes. Plus tu échoues, plus tu te sens maudit. Plus tu échoues, plus tu te sens impuissant. Et de cette haine, de cette impuissance, comment pourrait surgir la compassion ? La compassion surgit quand tu es parfaitement centré. Dis plutôt : « Oui, c’est comme ça que je suis ». Et sans idéaux à satisfaire, aussitôt, la plénitude est là !

 

Les roses fleurissent merveilleusement parce qu’elles n’essayent pas de se convertir en lotus. Et les lotus fleurissent merveilleusement parce qu’ils n’ont pas entendu d’histoires d’autres fleurs. Tout dans la nature fonctionne à merveille, en harmonie, parce que nul n’essaye d’entrer en compétition avec qui que ce soit d’autre, nul n’essaye de se convertir en qui que ce soit d’autre. Tout est comme il se doit.

Comprend juste ce point ! Sois juste toi-même et rappelle-toi que, quels que soient tes efforts, tu ne peux être nul autre que celui que tu es. Alors détends-toi. L’Existence a besoin de toi tel que tu es.

 

Il n’existe que deux chemins : l’un, c’est de te rejeter – ou de te condamner – mais au fond de toi tu continueras d’être le même, tu seras toujours le même. L’autre, c’est de t’accepter, de lâcher-prise en jubilant, en te réjouissant, et là aussi, tu seras toujours le même. Ton attitude peut-être différente, mais au fond de toi tu seras toujours la personne que tu es. Dès que tu t’acceptes, la plénitude surgit."

Osho

 

Dans le texte qui précède, Osho signale clairement le premier pas : s’accepter tel que l’on est.
Nous sommes tous confrontés à ce problème, dans une plus ou moins large mesure.

 

 

Bien qu’il ne semble pas y avoir de recette pour apprendre à s’accepter ou à s’aimer, il y a deux choses fondamentales à comprendre :

 

 

La vidéo qui suit, illustre parfaitement ces propos…

Court-métrage « In Between » (Entre-deux), de Gobelins.

 

 

Tu veux des arguments? OK allons-y!! 😉

Quand nous nous aimons nous-même...

1. Nous laissons partir le blâme, la honte et la colère. Nous invitons le sentiment de propriété, la créativité et le pouvoir dans notre vie.

2. Nous sentons et écoutons notre pouvoir et lui faisons confiance. Peu importe ce que les autres pensent ou disent ; ce qui importe est comment nous nous sentons à propos de nous-même.

3. Nous nous sentons en paix. Nous nous acceptons inconditionnellement – avec nos forces et nos faiblesses.

4. Nous devenons responsables de notre vie. Nous reconnaissons que nous sommes la source de tous les bonheurs. Nous sommes la source du changement, dans notre avenir, notre carrière, nos relations, notre passion, notre compassion, notre empathie et notre authenticité.

5. Nous laissons partir le sentiment de solitude et embrassons une connexion plus profonde et la sensation d’unicité avec le monde.

6. Nous nous autorisons à nous montrer dans le monde et à livrer notre objectif.

7. Plus nous nous regardons avec amour, plus nous donnons d’amour et d’acceptation aux autres. Nous laissons partir les pensées qui nient notre réalité (les « nous devrions ») et nous nous mettons à aimer ce qu’elle est.8. Nous nous autorisons à être humain. Nous acceptons les erreurs et les échecs et nous invitons la vulnérabilité dans notre vie.

9. Nous n’avons pas besoin de prouver aux autres, parce que nous savons que nous sommes assez fort.

10. Nous laissons tomber la compétition et la comparaison avec les autres. De cette façon, nous serons toujours assez confiant.

11. Quand nous nous aimons, nous donnons naissance à de la créativité, à de l’inspiration et à de l’ouverture.

12. Nous acceptons la réalité au lieu de la blâmer et de la combattre, parce que nous savons que l’amour est dans tous les coins.

13. Nous attirons l’harmonie, la paix, l’espace et le signifions dans nos relations.

14. Nous trouvons le courage d’accepter l’échec parce que nous savons qu’il est un pas de plus sur le chemin du développement et que notre importance est fonction de ce que nous produisons.

15. Nous arrêtons de nous garder petit dans le monde et, à la place, nous nous autorisons à grandir, comme un arbre qui pousse pour apporter de l’ombre et de la nourriture à un nombre infini de personnes. Plus nous grandissons, plus nous répandons de l’amour et de la joie.

16. Nous prenons conscience de nos pensées stressantes et de la façon dont nous réagissons, quand nous y pensons. Nous nous demandons si elles sont vraies et nous choisissons de nous en détourner et de plutôt inviter le calme dans notre vie.

17. Nous nous sentons en sécurité, car nous savons que nous sommes toujours bon pour nous-même.

18. Nous brillons naturellement, sans travailler ou nous battre pour y parvenir.

19. Nous passons de la rareté à l’abondance dans chaque secteur de notre vie, sans avoir besoin de lutter ou de pousser pour cela.

20. Liste non exhaustive bien sur ! 😉

19. Nous passons de la rareté à l’abondance dans chaque secteur de notre vie, sans avoir besoin de lutter ou de pousser pour cela.

Voir plus: Les Fantastiques effets du fait de s’aimer soi-même | http://www.santenaturelle.org/20-effets-secondaires-fantastiques-de-saimer-soi-meme/

 

Quand nous nous aimons nous-même 1. Nous laissons partir le blâme, la honte et la colère. Nous invitons le sentiment de propriété, la créativité et le pouvoir dans notre vie. 2. Nous sentons et écoutons notre pouvoir et lui faisons confiance. Peu importe ce que les autres pensent ou disent ; ce qui importe est comment nous nous sentons à propos de nous-même. 3. Nous nous sentons en paix. Nous nous acceptons inconditionnellement – avec nos forces et nos faiblesses. 4. Nous devenons responsables de notre vie. Nous reconnaissons que nous sommes la source de tous les bonheurs. Nous sommes la source du changement, dans notre avenir, notre carrière, nos relations, notre passion, notre compassion, notre empathie et notre authenticité. 5. Nous laissons partir le sentiment de solitude et embrassons une connexion plus profonde et la sensation d’unicité avec le monde. 6. Nous nous autorisons à nous montrer dans le monde et à livrer notre objectif. 7. Plus nous nous regardons avec amour, plus nous donnons d’amour et d’acceptation aux autres. Nous laissons partir les pensées qui nient notre réalité (les « nous devrions ») et nous nous mettons à aimer ce qu’elle est.

Voir plus: Les Fantastiques effets du fait de s’aimer soi-même | http://www.santenaturelle.org/20-effets-secondaires-fantastiques-de-saimer-soi-meme/

 

Cultiver une bonne estime de soi est essentiel à notre équilibre et notre épanouissement.

Voici quelques conseils pour apprendre à (mieux) s'aimer.

 

Comment faire pour apprendre à s’aimer et s'accepter ?

Tout processus d’apprentissage, qu’il passe ou non par un guide, implique d’abord de recevoir un minimum d’information, et ensuite (et ça c’est la partie la plus importante !) de persévérer dans la pratique, jusqu’à intégrer nos nouvelles habiletés et les faire nôtre de façon permanente. Nous pouvons ainsi réussir à nous défaire de croyances erronées qui nous empêchent de nous accepter, de nous apprécier et de nous aimer tels que nous sommes.

Lorsque nous avons identifié un objectif d’une importance vitale et que nous concentrons toute notre volonté pour l’atteindre, nous développons au maximum notre potentiel et alors toutes les expériences, les personnes et les recours nécessaires à notre évolution semblent venir miraculeusement a notre rencontre.

 

S’aimer soi-même n’implique nullement une attitude proche de l’égocentrisme ou du narcissisme. S’aimer soi-même n’a strictement rien à voir avec le fait de raconter à tout à chacun qu’on est quelqu’un de sensationnel, ou d’accaparer l’attention pour gagner l’approbation des autres. En fait rien n’est plus éloigné de la vérité: C’est parce que l’on manque de confiance en soi et d’estime personnelle. On roule les mécaniques pour essayer de séduire autrui. Autrement dit, on s’évalue soi-même  en fonction de l’image que les autres se font de nous. Sinon on n’éprouverait pas le besoin de les convaincre.

 

S’aimer soi-même, ce n’est pas exiger d’être aimé par les autres. Il suffit de s’accepter intérieurement, et le point de vue d’autrui n’a rien à voir dans cette affaire.

 

S’aimer soi-même, c’est  accepter ce qui vous différencie des autres, (votre propre singularité). C’est ne pas vous juger en fonction de ce que vous ne réussissez pas. Comme à chaque fois que vous adoptez une attitude d’auto-dénigrement, vous donnez le (bâton pour vous battre). Si vous vous sous-estimez, c’est parce que vous vous comparez aux autres en fonction de critères d’ordre scolaire et autres injonctions du type; il faut être le meilleur, peut mieux faire, il ne faut pas se montrer vulnérable…

 

Chassez les anti-moi !

Comme le souligne Martine Teillac dans son livre "S'aimer pour aimer les autres", il faut chasser certains travers qui nous fragilisent et remettent en cause notre confiance en soi :

  • Halte à la  parano : non, votre voisin ne vous a pas regardé de travers, non vos collègues de boulot ne cancanent pas dans votre dos… Toutes ces petites peurs irraisonnées vous empêchent de vous épanouir et de vous concentrer sur l'essentiel. Le problème ? Vous projetez sur les autres votre manque de confiance en vous.
  • Arrêtez de tout dramatiser : chaque erreur ou parole de travers prend chez vous des proportions incroyables ? Tout semble bon pour vous dévaloriser et finalement vous mettre en situation d'échec. Mais vous n'êtes pas la sempiternelle victime. Il faut sortir de ce cercle vicieux que vous entretenez.
  • Arrêtez de vous comparer aux autres : souvent, le fait de regarder les qualités du voisin vous empêche de voir votre propre valeur. Aiguisez plutôt votre sens critique et vous verrez que les autres ne sont pas aussi parfaits qu'ils en ont l'air…

Qualités et défauts : un bilan s'impose !

Le problème justement du manque de confiance en soi, c'est qu'il exacerbe les défauts et masque les qualités. Il est donc essentiel d'apprendre à remettre les premiers à leur place, en identifiant les seconds.

 

Dans leur livre "S'ouvrir à son coeur d'enfant", Marie France et Emmanuel Ballet de Coquereaumont proposent ainsi un exercice simple pour identifier ses qualités :

 

1- S'installer dans un endroit calme, sans téléphone, avec un papier et un crayon ;
2- Respirer calmement et profondément ;
3- Dès que vous êtes prêt, notez vos 20 qualités en moins de trois minutes ;
4- Une fois le temps écoulé, quel que soit le résultat, posez-vous quelques questions : avez-vous eu du mal ? Que ressentez-vous face à cette liste ? Reconnaître l'existence ces qualités vous met-il mal à l'aise ? Êtes-vous persuadé de posséder ces qualités ?

 

L'exercice est à recommencer jusqu'à ce que vous soyez convaincu de posséder ces qualités.

 

Jetez votre filtre négatif

Ne prenez pas la mauvaise habitude de ne vous concentrer que sur les mauvaises choses de votre vie. Une concentration excessive sur les évènements négatifs ou plus ou moins favorables de votre vie peut rendre ces évènements exagérément importants. Si vous vous prenez en train de vous plaindre qu'il ne vous arrive que de mauvaises choses, essayez de trouver des preuves du contraire, car il y a peu de chances qu'il ne se passe que de mauvaises choses.

 

Respectez vos valeurs

Pour être soi-même, il faut peut-être apprendre à connaître et respecter ses valeurs. Et il faut autant que possible éviter de s'imposer des règles de conduite qui vont à leur encontre. Par exemple, si vous êtes profondément altruiste, vous vous épanouirez certainement plus dans un travail du secteur social qu'au sein d'un service commercial dans lequel vous devrez vous battre quotidiennement, contre les autres et contre vous-même. Car si l'on peut donner le change quelques mois voire quelques années, il est difficile d'aller indéfiniment contre sa nature. Alors faites le point sur vos valeurs profondes, qui ne doivent pas être "négociables". Cette base doit toujours vous servir de guide dans vos choix de vie.

 

Renouez avec le passé

Souvent, l'histoire familiale est un poids qui peut grandement limiter notre confiance en nous. Vous avez peut-être l'impression que vos parents ne vous ont pas forcément soutenu durant l'enfance, voire vous ont mis des bâtons dans les roues ? D'abord, dites-vous bien que chacun essaie de remplir son rôle du mieux qu'il le peut ! Ils n'ont jamais eu pour ambition de vous saper le moral ! Mais ils peuvent être dans un schéma de réparation, et vouloir réussir à travers vous par exemple, pour compenser leur propre vécu. Il peut y avoir les parents trop étouffants, avec lesquels il faudra couper le cordon.

Bref, chaque situation est différente et souvent complexe. L'essentiel pour prendre confiance en soi, c'est de comprendre ces liens que nous entretenons avec notre famille, pour les appréhender sans les subir. Il faut identifier les modèles parentaux, et apprendre à se positionner par rapport à eux, en décidant de ce qu e l'on garde et ce que l'on jette…

 

Enfin, s'aimer ne vient pas tout a coup. Il faut y aller pas à pas, pour progresser et réussir à construire sa personnalité.

 

 

S’aimer soi-même c’est être assuré d’être aimé pour la vie.

– Auteur inconnu

 

Encore quelques pistes pour apprendre à s’aimer et à s’accepter

 

 

 

 

1/ Placez-vous devant votre miroir et répétez tous les matins dix fois de suite: « je t’aime (votre prénom) ou si cela est difficile, commencez par « je décide de m’aimer et m’accepter comme je suis ».

 

Apprenez à vous féliciter chaque fois que vous accomplissez une tâche, même de moindre importance. Dites  » Je suis fier(e) de toi (votre prénom).

 

Prenez conscience de l’auto dévalorisation et reformuler vos pensées. Le stratagème consiste à rectifier le tir en disant, par exemple:  » Je viens de parler de chance, mais la chance n’a rien avoir la dedans. J’ai eu cette bonne note parce que je la méritais.

 

 

2/ Cherchez à avoir d’autres réactions quand autrui vous manifeste de l’amour ou tente de vous montrer qu’il vous accepte tel que vous êtes. Au lieu de répondre automatiquement par le scepticisme devant un geste d’affection, dites: « Merci » ou « Je suis content que vous pensiez cela. »

 

S’il y a quelqu’un que vous aimé vraiment; dites-lui franchement: « Je vous aime » et, en guettant la réaction de l’intéressé, félicitez-vous d’avoir sauté le pas.

 

Au restaurant commandez le plat dont vous êtes gourmand, même si c’est cher. Faites-vous plaisir parce que vous le méritez. Proscrivez les sacrifices sauf lorsqu’ils sont nécessaires – et c’est bien rare.

 

 

3/ Éliminez la jalousie en reconnaissant que c’est une façon de vous rabaisser vous-même. Se comparer à quelqu’un et s’imaginer qu’on vous aime moins que ce quelqu’un, c’est considérer que les autres sont plus importants que vous.

 

 

4/ S’aimer soi-même peut aussi se traduire par une nouvelle façon de traiter son corps. Par exemple, choisir des aliments sains, faire du sport; faire régulièrement de la marche à pied ou de la bicyclette, respirer l’air pur parce que c’est agréable…

 

 

5/ Ne juger pas votre  valeur en fonction de ce vous réalisez, mais de ce que vous êtes. Vous pouvez cesser d’établir un rapport direct entre vos performances dans tous les domaines et votre valeur personnelle. Il se peut que vous perdiez votre emploi ou que tel ou tel projet sur lequel vous travaillez se solde par un échec. Il se peut que vous n’aimiez la façon dont vous avez réalisez ceci ou cela. Mais cela ne veut pas dire que vous êtes nul. Vous devez vous convaincre que vous valez quelque chose, indépendamment de ce que vous avez accompli. Il est aussi absurde de faire dépendre sa valeur d’une réalisation externe que de lier cette réalisation à l’opinion d’un tiers.

 

6/ Faites une liste de vos qualités et réfléchissez-y tous les jours. Cela peut être difficile pour quelqu'un qui pense régulièrement de façon négative à son sujet, mais essayez de trouver des choses positives à propos de vous que vous pouvez ajouter à votre liste une fois par semaine. À la fin de chaque journée, réfléchissez à votre liste.

  • Préparez une liste très spécifique. Au lieu d'utiliser des adjectifs vagues pour vous décrire, essayez de faire une liste avec des actions ou des qualités précises qui décrivent ce que vous faites et qui vous êtes.
  • Par exemple, au lieu de dire je suis généreux, écrivez chaque fois que je sais que l'un de mes amis a des problèmes, je lui offre un petit cadeau pour lui montrer que je tiens à lui. Cela me rend généreux.
  • Au fur et à mesure que vous lisez votre liste et que vous y réfléchissez, souvenez-vous que chaque élément qui la compose, même ceux qui vous paraissent insignifiants, est une raison qui vous rend digne d'être respecté et aimé.

 

7/ Faites-vous cadeau d'un peu de temps. Ne vous sentez pas coupable si vous passez du temps à penser et à réfléchir à vous-même et à votre vie. Il est important de vous donner du temps et la permission de vous aimer. Vous avez de bonnes chances de vous rendre compte qu'en le faisant, vous arrivez à passer plus de temps de qualité avec les autres.

 

8/ Mettez en place un plan pour gérer les revers et la négativité. Trouvez ce qui a tendance à vous faire dévier de votre plan et décidez de la façon à utiliser pour gérer ces choses. Prenez conscience que vous ne pouvez pas contrôler ce que les autres disent ou font, mais vous pouvez contrôler vos réactions.
  • Vous pourriez remarquer que les commentaires négatifs d'une personne en particulier, par exemple votre mère ou votre chef, vous voient entrer dans une spirale de négativité. Si cela se produit en permanence, essayez d'en connaitre la raison.
  • Décidez de la façon dont vous allez gérer vos pensées négatives. Vous pourriez avoir besoin de faire une pause pour respirer ou pour méditer. Prenez conscience de ce que vous ressentez et recadrez votre réaction négative avec des rappels positifs de votre propre valeur.

 

 9/ Parfois, on a beau tenter toutes les techniques d'amélioration d'estime de soi, rien à faire, on persiste à se trouver nul(le) et non avenu(e). Dans ces cas là, si la souffrance est invalidante, alors faire appel à un thérapeute peut aider à comprendre les mécanismes mis en place par notre psyché. Si vraiment vous éprouvez des difficultés, faites vous aider... Consultez un thérapeute. En explorant vos pensées négatives et en identifiant ce qui déclenche vos émotions, vous pourriez refaire remonter des souvenirs de votre passé qu'il pourrait être difficile de gérer. Et aussi pour apprendre à gérer des pensées négatives de façon productive et pour réaliser que vous avez aussi des qualités.

 

 

10/ Faites des choses qui vous font vous sentir bien. Pensez à vous sentir bien physiquement, émotionnellement et spirituellement. Faites ce qui est nécessaire pour vous sentir bien. Cela pourrait vous demander de faire des exercices, de la méditation ou de tenir un journal. Trouvez-vous une routine qui vous permet de vous sentir bien et tenez-vous-y.
11/ Réfléchissez sur les effets obtenus en vous aimant vous-même. Lorsque vous passez du temps à vous aimer et à vous récompenser, vous avez plus de chances d'en voir les bénéfices dans plusieurs domaines de votre vie. Observez si vous avez plus d'énergie ou si vous êtes capable d'être plus présent pour les autres. Vous pourriez commencer à ressentir que vous avez plus de responsabilités par rapport aux choix que vous faites et que vous avez un meilleur contrôle sur votre vie.
12/ Ne pas se comparer ni imiter mais s'inspirer... Les personnes à basse estime de soi ont tendance à imiter leurs modèles, comme ils le faisaient adolescents, pour se sécuriser. Or imiter et se comparer c'est nier sa personnalité, ses besoins, ses envies profondes. C'est aussi le risque de poursuivre toute sa vie des chimères inaccessibles. C'est surtout la certitude de se trouver toujours moins bien que ceux à qui on se compare. Le mieux est donc de "s'inspirer des personnes de notre quotidien". "Il existe des tas de gens autour de nous qui font du bien aux autres sans ostentation. On peut les observer, échanger avec eux, discuter, s'enrichir mutuellement, apprendre, bref, s'inspirer d'eux."
13/ Oser dire "Non", c'est ne pas faire ce que l'on n'a pas envie de faire, ou ce que l'on ne peut pas faire pour une bonne raison. "C'est donc une façon de maintenir et de protéger son estime de soi en privilégiant ses propres besoins, son énergie, son temps, voire son argent, pour les consacrer à des activités qui paraissent plus importantes". D'autant qu'un "Oui" donné à contre coeur génère des frustrations et engendre des actions souvent bâclées et donc un risque de se faire réprimander par la suite. Savoir dire "Non" se travaille tous les jours et nécessite de la fermeté, ajoute l'auteur. 

Toujours se rappeler que l'on dit "Non" à la demande, pas à la personne. Et pour faire passer la pilule, on peut essayer de chercher avec son interlocuteur des alternatives possibles le concernant lui et sa demande. Si vous n'êtes pas sûr de vous, commencez par ailleurs par dire "Non" à des personnes de moindre importance pour vous (un vendeur insistant par exemple), puis augmentez la difficulté progressivement. Et n'oubliez pas "que quand on dit 'non' aux autres, c'est à soi que l'on dit 'oui'" (et vice et versa ;) )

 

14/ Dernier petit exercice :

  • Pensez à quelque chose que vous aimez d’un amour pur et profond, quelque chose que vous aimez vraiment beaucoup. Ca peut-être une personne, un animal, ou une activité (trouvez ce qui fonctionne le mieux pour vous). Éviter de choisir une personne pour laquelle vous avez aussi des sentiments ambivalents (griefs, reproches, ou autre).
  • Imaginez cet image/présence en face de vous, et portez-y votre sentiment d’amour aussi puissamment que possible. Restez avec cela jusqu’à ce que ce soit fort et agréable, stable.
  • Imaginez que ce flot d’amour fais un crochet et tourne pour revenir vers vous. Sentez maintenant cet amour entrer en vous et se répandre à l’intérieur. Restez avec cela jusqu’à ce que ce soit fort et agréable, stable.
  • Laissez l’autre personne ou objet disparaitre tranquillement
  • Variante : vous pouvez imaginer cette personne ou cette chose entrer en vous. Mettez-là dans votre cœur avec ce flot d’amour qui entre aussi. Faites-la ensuite disparaitre et profitez de ce flot d’amour.
  • Autre variante : rappelez-vous d’un endroit où d’une circonstance qui vous faisait éprouver de l’amour fortement, et utilisez cela comme une astuce pour créer un flot d’amour que vous redirigez vers vous-même.
  • profitez-en et amplifiez autant que possible !
  • Notez à nouveau sur l’échelle de 0 à 10 pour mesure votre progression.

Note : faire disparaitre le premier objet d’amour ne veut pas dire que vous n’aurez plus d’amour en y pensant. L’amour est multipliable à volonté !

Plus vous le ferez, plus vous serez à l’aise avec cet exercice. Vous mettre dans un état d’amour pour vous-même peut même faire disparaitre un problème auquel vous pensiez ! Disons que c’est un effet secondaire positif (cela ne veut pas dire que le problème est réglé).

 

Et côté physique? Bha oui, aimer son corps c'est important aussi... Redonner une chance à son corps, mode d'emploi :

- Arrêter d’inspecter sous toutes les coutures les moindres recoins de son corps devant la glace, pire avec un miroir grossissant.
- S’entourer de gens bienveillants et tolérants, dialoguer avec eux, ou comment gagner en estime de soi.
- S’accepter et se répéter que oui, on est belle. A force on en devient convaincue et on en redemande.
- Se faire plaisir : avec un soin, un hammam, une crème avec laquelle on se masse l’ensemble du corps et qui laisse la peau douce et veloutée…
- Changer/ Adapter sa garde robe : suivre la mode c’est bien, mais à condition qu’elle corresponde à sa morphologie et que l’on se sente bien dans ses vêtements !
- Opter pour des sous-vêtements qui mettent la silhouette en valeur : On mise sur des soutiens-gorges push up pour rehausser notre poitrine et jouer la carte du sexy. On assume nos courbes et on en joue !
- Être à l’écoute de son corps : dormir suffisamment, manger équilibré et sain (viande blanche, poissons, céréales, légumes verts, fruits…) ; sans se refuser quelques douceurs. Il faut éviter la privation ou la frustration.
- Se mettre au sport : rien de tel pour réconcilier esprit et corps. On se défoule, on se vide le crâne tout en raffermissant son corps et en prenant soin de sa silhouette !

Toutes ces attitudes ci-dessus sont celles des gens qui s’aiment eux-mêmes. Elles peuvent souvent être en contradiction avec les leçons que vous avez apprises en grandissant. Aujourd’hui vous pouvez décider de vous aimer sans tenir compte des influences extérieures. C’est en optant pour l’assouvissement personnel que vous pouvez donner du plaisir. Si vous n’êtes pas heureux, votre partenaire ne peut pas l’être.

© Micki Fine, Aime-moi comme je suis, Techniques de Mindfulness pour se libérer du besoin de plaire, Eyrolles, 2015.
Inclus : près de 2 heures d'écoute de méditation (pratique pour débuter)
 
On a beau avoir au moins 100 raisons de s'aimer (encore plus) , se dire des trucs gentils dans le miroir pour se booster ou carrément utiliser la méthode Coué , parfois rien à faire : quand on est avec des collègues, des amis, notre mec ou des inconnus, notre Pensouillard (le petit hamster dans nos têtes qui panique*) s'active et tourne-tourne dans sa roue.
 
Et là, on commence à s'auto-flageller : "Si je lui dis ça, elle ne m'aimera plus", "si je ne m'intéresse pas aux musiques qu'il écoute, il va se lasser de moi", "je ne suis nulle", "je me sens inutile"... Bref, Là, ça va pas, mais ça va pas du tout !!!
On débranche les cerveaux...et on ressent !
 
C'est la raison pour laquelle, comme notre cerveau a tendance à bugger sérieux dans certaines circonstances et nous fait dire des trucs méchants sur nous, il est inutile de le faire fonctionner à ce moment-là (il est hors-course). Ben du coup, on fait quoi ? On respire, on écoute son corps, les sons, ce qu'on ressent, sans se juger.
Notre Pensouillard se calmera et hop, comme par magie, on apprendra de plus en plus à se calmer et à s'aimer.
Car comme dirait le grand sage perché sur sa branche : "Quand l'eau est agitée, on ne peut pas voir à travers. Mais quand elle est calme, tout devient clair et on peut voir les jolis coquillages".
 
Voici l'objet de ce livre que toute stressée devrait lire : "Aime-moi comme je suis, Techniques de Mindfulness pour se libérer du besoin de plaire" de Micki Fine, aux éditions Eyrolles.
Le Mindfulness, c'est quoi ? C'est porter attention à ce qui est dans le présent, à savoir écouter le son de voitures au loin, les tensions dans la nuque, vos pensées, votre souffle, pour prendre du recul et être un peu plus zen.
 
Mais quel rapport avec le regard des autres, bougre de bigre ? Et bien on revient à soi, on se calme, on est bien dans sa tête et dans ses bottes, plus à l'écoute de ses besoins et plus aimante envers soi, donc (on y arrive) on a moins besoin du regard des autres.
Exemple avec ces 5 exercices de Mindfulness pour apprendre à s'aimer encore plus :
 
1/ Respirer pour se calmer, se détendre et sortir de la "panique". Qu'on soit chez soi, au boulot ou en vacances, on s'isole 10 minutes. Là, on respire, sans essayer de modifier le rythme de son souffle, simplement en prenant conscience du mouvement de l'air dans nos narines, dans nos poumons. Et dès que nos pensées reviennent, hop, on se reconnecte à notre respiration. Et à force de pratiquer, on sera de plus en plus zen, plus à même de savoir ce qu'on veut, ce dont on a besoin, ce qu'on mérite, d'être au clair avec soi et donc en mesure de le demander ou de dire non.
 
Exercice : Pour vous initier, vous pouvez par exemple essayer (en plus du bouquin) les exercices gratuits sur l'excellent site Petit Bambou (puis vous abonner si vous voulez prolonger l'expérience).
 
2/ Observer notre besoin de plaire. Pour Micki Fine, ça saute aux yeux comme un éléphant dans un magasin de porcelaine : si on veut plaire, c'est qu'on a à un moment manqué d'amour de nos parents (mais ne les blâmons pas forcément, hein, ce ne sont pas des êtres surnaturels mais humains, ils ont fait de leur mieux, à leur façon. Comme nous !). Dans son livre, Micki Fine nous apprend donc à distinguer les façons dont ce besoin de plaire se traduit (envie d'être parfait, difficultés à dire non, sentiment de culpabilité,...) pour pouvoir mieux tordre le coup à cette habitude dès qu'elle survient : "Hahaaaa ! Je te vois toi, l'envie de plaire, en train de surgir pendant que je parle à ma copine ! Non, je ne te laisserai pas venir ! Na."
 
Exercice : pensez aux différentes situations où vous avez dit ou fait des choses pour plaire et essayer de voir ce que vous avez ressenti, dans votre tête (tristesse, peur, colère, ...) et dans votre corps (impression de suffoquer, tensions dans le dos, mâchoires sérrées). Et quand vous les voyiez apparaitre dans votre vie quotidienne, parlez à votre envie de paire et dites-lui que vous la voyez s'agiter ! Elle est FOU-TUE !
 
3/ Aimer le "présent". "Accepter le présent tel quel et l'aimer comme un ami", nous dit Micki Fine. Joli sur le papier mais quand on vit une journée toute nulle, on fait quoi??? Et bien on se dit que oui, les embêtements font partie de la vie, tout le monde en a. Donc ce n'est pas notre faute ou une malédiction jetée sur nous. Du coup, ça nous fait déjà nous enlever (dans certains cas) pas mal de pression. Et au contraire, ça nous aide à voir le présent comme une source d'opportunités et de moments d'amour à partager, avec les autres... ou avec soi.
 
Exercice : on ferme les yeux et on se dit des trucs qu'on aime chez nous, dans notre vie ou qu'on souhaite aux autres. Et on laisse cette sensation d'amour nous envahir petit à petit (oui oui, c'est possible. C'est "la méditation de l'amour" de Barbara Fredrikson ).
 
4/ Multiplier les contacts aimants avec soi. En clair : se faire du bien, car comme le dit Florence Servan-Schreiber dans "3 kifs par jour", le secret du bonheur, c'est être (aussi) amoureux de sa propre vie. Et c'est là qu'on pourra aussi renvoyer le plus d'amour aux autres.
 
Exercice : on prend conscience de l'explosion des saveurs quand on mange , de la douceur de nos mains sur notre peau quand on se lave, de la douceur d'une caresse d'une ami ou de notre mec aussi, de la délicatesse du parfum d'une bougie,... Bref : on ouvre nos sens pour en tirer le max de sensations positives.
 
5/ Se pardonner nos échecs. Ba oui, on est humaine. On fait toutes des trucs dont on est plus ou moins fières voire pas du tout et non, on ne peut pas tout réussir car tout ne dépend pas de nous non plus.
 
Exercice : on se dit clairement qu'on se pardonne, pourquoi ("je me pardonne de ne pas avoir réussi à faire un article plus court", "je me pardonne d'avoir mangé une tablette de chocolat en entier, c'est mon Pensouillard qui m'a poussé à faire ça mais j'arrive de plus en plus à le calmer").
 
*Serge Marquis, On est foutu, on pense trop !, Éditions de La Martinière, avril 2015
Je vous souhaite un gros kif love entre vous et vous-même =)
Céline

 

 

Sources de mes recherches : attitudezensitive.com, santenaturelle.org, aufeminin.com, bibamagazine.fr, Analyse du texte d'Osho par Axel Piskulic, Alain Sousa, Marie-Laure Cuzacq, fr.wikihow.com.